De plus en plus présent sur les cartes des restaurants bistronomiques, le poulpe rencontre un franc succès. Préparé en ceviche, en beignet, en soupe, grillé à la plancha, poêlé, frit ou cuit vapeur, ce céphalopode dévoile une saveur plus marquée et iodée que le calamar ou la seiche.

Il est important de le « battre » ou de le placer au congélateur pour détendre sa chair avant de le cuire. Les huit tentacules, coupés le plus haut possible, se révèlent alors mœlleux à souhait et gardent une belle couleur rose clair si on effectue une cuisson pas trop agressive.

Particulièrement riche en calcium, en potassium, en vitamines A et C et en fer, le poulpe est aussi une mine d’oméga 3 : le goût associé à la santé !